Conscience, I say, not thine own, but of the other: for why is my liberty judged of another man's conscience?

Conscience ... de l'autre - le frère faible (1 Corinthiens 10:28).

Car pourquoi ma liberté est-elle jugée sur la conscience d'un autre homme? Paul se met, pour ainsi dire, dans la position de ses convertis. Le grec pour "l'autre" [ heterou (G2087)] et "un autre" [ allees (G243) ] sont distincts. «L'autre» est celui avec qui est le souci de Paul et de son converti: «un autre» est tout autre avec qui lui et eux n'ont aucun souci. Si un hôte sait que la viande est de la viande d'idole, alors que je ne le sais pas, j'ai «la liberté» de manger sans être condamné par sa «conscience» (Grotius). Ainsi, le "pour", etc., est un argument pour 1 Corinthiens 10:27, "manger, ne poser aucune question". Ou: «Pourquoi devrais-je donner l'occasion, par un usage imprudent de ma liberté, qu'un autre la condamne» (Estius). Ou les mots sont ceux de l'objecteur corinthien (peut-être cité par Paul d'après leur lettre): «Pourquoi ma liberté est-elle jugée par la conscience d'autrui? pourquoi ne serais-je pas jugé uniquement par moi-même et n'aurais-je pas la liberté de faire tout ce qu'il sanctionne? Paul répond, 1 Corinthiens 10:31, Votre action doit toujours être limitée par rapport à "la gloire de Dieu" (Vatablus). La première explication est la plus simple: le «pour», etc., y fait référence à «pas le tien» (i: e., «Pas le mien», dans le changement de Paul à la première personne). Je ne dois m'abstenir qu'en cas de responsabilité d'offenser la conscience de l'autre; dans les cas où le mien n'a aucun scrupule, je ne suis lié, selon le jugement de Dieu, par aucune autre conscience que la mienne.

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