All the labour of man is for his mouth, and yet the appetite is not filled.

Tout le travail de l'homme (est) pour sa bouche - plutôt, 'de l'homme', à savoir, l'avare (Ecclésiaste 6:3 - Ecclésiaste 6:6). Car tous les hommes ne travaillent pas pour la bouche, c'est-à-dire pour une satisfaction égoïste. Donc l'hébreu, haa'aadaam (H120).

L'appétit - Hébreu, l'âme. L'insatiabilité du désir empêche ce qui est la seule fin proposée dans les peines, à savoir la satisfaction de soi. L '"homme" ne tire donc aucun "bien" de sa richesse (Ecclésiaste 6:3). La merveille est que nous devrions «tant nous harceler pour une si petite chose, et si facilement obtenue. Puisque tout ce que l'on gagne à un labeur incessant se réfère à la nourriture et aux vêtements, et que la nature se contente de peu, ce désir insatiable de devenir est fou et monstrueux. Dieu a rendu notre bouche très petite; pourtant le désir de gain est aussi vaste que si notre bouche était aussi grande qu'un tourbillon, et capable d'avaler le Jourdain à un courant d'air; ou comme si nous avions la bouche de Léviathan »(Cartwright). (1 Timothée 6:9.)

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