He that laboureth laboureth for himself; for his mouth craveth it of him.

Celui qui travaille, travaille pour lui-même - littéralement, "L'âme de celui qui travaille, travaille", etc.

Car sa bouche en a soif de lui - littéralement, "s'incline" ou "se prosterne devant lui" comme un suppliant désireux de manger pour ses besoins. Ou, plus littéralement, «s'incline sur lui» - c'est-à-dire, lui impose du travail. Salomon exhorte ici au 'travail', qui est la portion désignée de l'homme (Genèse 3:17 - Genèse 3:19; Ecclésiaste 6:7, "Tout le travail de l'homme est pour sa bouche"). Le travail tend au bien de celui qui travaille et pourvoit à ses besoins pressants (cf. Proverbes 9:12). Ainsi, dans nos besoins spirituels, le travail (i: e., Diligence et sérieux) est le chemin vers le repos céleste. L'appétit spirituel créé par Dieu, le Saint-Esprit, «aspire» à une diligence laborieuse de l'homme, afin d'obtenir le don gratuit du pain de vie.

Continue après la publicité
Continue après la publicité