La tête d'une femme est l'homme, etc. Pour avoir la tête couverte aux réunions publiques, est, selon saint Paul, une marque de sujétion: L'homme a été créé pour être la tête sur la femme, qui a été soumise à l'homme, se fait de lui, de sa côte, et la femme fit pour lui, non lui pour la femme. L'homme, d'une manière particulière, est l' image de Dieu, non seulement par son âme immortelle, en ce sens aussi la femme a été faite à l'image et à la ressemblance de Dieu, mais dans la mesure où Dieu lui a donné un pouvoir sur toutes les créatures, et ainsi il est appelé, la gloire de Dieu.

Pour ces raisons, ainsi que d'une coutume reçue, saint Paul dit à chaque femme, que dans la prière ou la prophétie dans les réunions publiques, elle doit avoir la tête voilée, et couverte en témoignage de sa soumission à l'homme, sa tête, sinon elle se déshonore elle-même et sa tête. C'est ce qu'il lui dit, (v. 10.) qu'elle doit avoir un pouvoir sur sa tête, [1] c'est-à-dire avoir un voile ou une couverture, comme marque du pouvoir de l'homme sur elle : et à cause de la des anges, c'est-à-dire par respect pour les anges présents.

Certains comprennent les prêtres et les ministres de Dieu, appelés anges, en particulier dans l'Apocalypse. Saint Paul ajoute que la nature [2] ayant donné aux femmes des cheveux longs, les a conçus comme un voile naturel. Enfin, il les appelle, à être juges, s'il n'est pas inconvenant chez les femmes de prier sans voile. Mais il aura des hommes à découvrir et à ne pas porter une telle marque de soumission, comme un voile, par lequel un homme déshonorerait sa tête, c'est-à-dire lui-même et Christ, qui est sa tête, et qui l'a nommé , quand il l'a créé, pour être la tête de la femme.

Il considère comme un déshonneur et une honte pour les hommes de nourrir leurs cheveux, comme devraient le faire les femmes. Il appelle aussi Dieu la tête du Christ, c'est-à-dire du Christ, en tant qu'homme. De peur qu'il ne semble amoindrir la condition des femmes plus que nécessaire, ajoute-t-il, la propagation de l'humanité dépend maintenant de la femme, aussi bien que de l'homme, puisque chaque homme est par la femme. (Avec H)

[BIBLIOGRAPHIE]

Debet mulier potestatem habere super caput suum, grec : exousian, mais certaines copies grecques ont du grec : peribolaion, cinctorium, velum.

[BIBLIOGRAPHIE]

Nec ipsa natura docet vos. Je ne trouve pas d'interrogation dans les copies latines, comme c'est marqué dans le grec, grec : oude didaskei umas. Le reste du texte semble mieux connecté, si on le lit avec interrogation.

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