Thyine. Pline ([Histoire Naturelle ?] iii. 16.) mentionne une espèce d'arbres grands et incorruptibles, appelée thya. Le bois était odorant et très coûteux. Citri et mensarum insania, quas feminæ viris contra margaritas regerunt. (B. XIII., et XV. 16.) Calypso le brûla, pour parfumer toute son île. (Homère) --- Il était utilisé comme une sorte d'encens dans les sacrifices, et de là reçu son nom. (Haydock) --- Septante traduire, "plained ;" et ailleurs, des pins, qui est adopté par St.

Jérôme, 2 Paralipomenon ii. 8. (Calmet) --- L'hébreu lit almuggim à un endroit, et algumin à l'autre, les lettres étant transposées ; "car je suppose, dit Kennicott, on dira à peine que ces arbres étaient à la fois almug et algum." (Haydock) --- Un mot pourrait être la prononciation éthiopienne. (Huet) --- Pourtant Kimchi observe que de telles transpositions de lettres sont très courantes chez les Hébreux.

(Du Hamel) --- Salomon avait demandé à Hiram de lui envoyer de l'algum, ou bois "à gomme" : mais comme il n'y en avait pas assez, ou aussi bien, au Liban qu'à Ophir, ou dans ces pays. Le bois ressemblerait probablement à celui du settim ou de l'acacia noir (Exode xxv. 5.) d'où est extraite la gomme d'Arabie. Acanthos, en Thébaïs, était célèbre pour ses beaux épineux et pour sa gomme.

(Strabo xvii.) (Calmet) --- Il est placé près de Memphis. (Pline, [Histoire Naturelle ?] iv 10.) --- Les Rabbins comprennent généralement que l'hébreu signifie "corail", ce qui n'est pas adapté aux instruments, encore moins à l'architecture. D'autres traduisent l'ébène, ou le bois du Brésil, mais sans raison. (Calme) (Tirinus)

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