Commentaire Catholique de George Haydock
1 Samuel 18:8
Un millier. Ces femmes se sont rendues coupables d'une indiscrétion, par excès de zèle, car il est toujours déplaisant au souverain d'entendre l'un de ses sujets préféré avant lui. (Saint Chrysostome, hom. i. de Saül.) --- La jalousie de Saül était d'autant plus excitée qu'il avait été menacé de la perte de son royaume, et avait perçu en David toutes les qualités d'un roi. Un malo principe tanquam successeur timetur quisquis est dignior.
(Pline in Traj.) --- Mais David était-il responsable de ce qui a été dit dans sa louange ? (Calmet) --- La Septante du Vatican omet ce qui suit jusqu'au v. 12. "Et Saül craignit David, (13) et il s'éloigna," &c. La copie alexandrine s'accorde avec la Vulgate. (Haydock) --- Ceux qui sont fiers, ne peuvent pas supporter les louanges des autres. (Worthington)