Ai-je commis une faute ? &c. C'est une sorte de reproche pour eux, et par la figure, appelée ironie, avec une réflexion sur les faux prédicateurs, qui, d'une manière ou d'une autre, se sont bien maintenus, tandis que saint Paul n'a ni pris ni voulu rien d'eux. , que ses adversaires n'aient peut-être pas l'occasion de dire qu'il a fait comme eux, ou qu'ils n'ont fait que comme lui. Et de peur qu'ils ne soupçonnent qu'il ne recevrait rien d'eux, parce qu'il ne les aimait pas (comme les hommes refusent parfois les cadeaux de ceux qu'ils n'aiment pas) il fait appel à Dieu, combien il les aime.

Mais il aura ceci à vanter contre ses adversaires, ces faux apôtres et ces ouvriers rusés, qui s'efforcèrent adroitement de se transformer, pour passer pour les apôtres du Christ, s'insinuant en leur faveur, et recevant au moins des présents d'eux, ce que saint Paul ne ferait pas, bien qu'il soit raisonnable qu'il vive selon l'Évangile. Voir 1 Corinthiens chap. ix. (Avec H)

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