[BIBLIOGRAPHIE]

Depravant, grec : streblousin. détorquent. C'est un discours, dit M. Legh, sur le grec : strebloo, emprunté aux tortionnaires, lorsqu'ils mettent un innocent au supplice, et lui font dire ce qu'il n'a jamais pensé. Ils s'occupent, dit-il, des Écritures comme les chimistes s'occupent parfois des corps naturels, les torturant pour en extraire ce que Dieu et la nature n'y ont jamais mis.

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