Commentaire Catholique de George Haydock
2 Samuel 1:21
Des fruits qui peuvent être offerts au Seigneur. Les choses inanimées ne pouvaient offenser, et David ne les maudit pas sérieusement. Mais (Tirinus) rien ne pouvait plus exprimer sa détresse et sa douleur que cette imprécation. Il est faux que ces montagnes aient été stériles depuis. Ce canton est l'un des plus fructueux du pays. (Brochard.) (Calmet) --- Job (iii.) parle avec la même animation, et maudit sa journée.
(Ménochius) --- De Saul, ou "Saul, le bouclier de son peuple, fut rejeté, comme," &c. protestants, « comme s'il n'avait pas été oint d'huile ». (Haydock) --- On ne lui reproche pas d'avoir jeté son bouclier, car rien n'a été jugé plus honteux. Les anciens Allemands ne permettaient pas à un tel homme d'entrer dans leurs temples ou leurs lieux de réunion. (Tacite, mor. Germ) --- Une femme de Sparte dit à son fils, lorsqu'elle lui livra : " Ramenez ceci, ou soyez amené sur lui " mort.
Impositu scuto referunt Pallanta frequentes. (Virgile, \'c6neid x.) (Sanctius) (Calmet) --- Comme si. L'hébreu semble avoir sh, au lieu de s, (comme c'est le cas dans plusieurs manuscrits correctement, dans noshug) et bli, au lieu de cli, (Delany) car le premier mot ne semble nulle part ailleurs signifier quasi non ; et le syriaque, l'arabe et le chaldéen omettent la négation. Ce pourrait donc être le bouclier de Saül, « les bras de celui qui a été oint d'huile.
" (Kennicott) --- Certains rapporteraient cette onction au bouclier, (Vatable) comme cela se faisait quelques fois : (Ménochius) mais le reflet serait ici trop insignifiant. (Calmet)