Commentaire Catholique de George Haydock
Esther 10:6
Et était. Septante, "et il y avait de la lumière, et le soleil et beaucoup d'eau." La lumière lui permit de discerner la marche de la petite fontaine. Pourtant, il n'était pas absurde que l'eau paraisse lumineuse, comme le soleil, car elle était destinée à montrer la merveilleuse exaltation d'Esther. (Haydock) --- Elle a éteint un grand incendie, qui menaçait la ruine. (Ménochius)
Bugite, peut se référer à quelque ville de Macédoine, chap. iii. 1. --- Honneur. Pourtant il pourrait être encore plus exalté, après que la conspiration ait été détectée ; (Houbigant) car le roi se doutait peu qu'il s'en occupait. (Haydock) --- Mort. On pense qu'ils voulaient placer Aman, ou quelque Macédonien, sur le trône, chap. xvi. 12, 14. (Calmet) --- Cette raison de la malveillance d'Aman, pourrait être inconnue de Mardochée, chap. xiii. 12. (Houbigant) --- Le premier était soit un partisan des traîtres, soit peut-être du même complot. (Worthington)
ESTHER 13
CHAPITRE XIII.
Seconde. Grec, "notre deuxième père". (Calmet) --- Complutensian, "le second après nous, sera tout extirpé par," &c. (Haydock) --- Ce roi est représenté comme donnant très bêtement des ordres pour la destruction d'une nation qu'il ne nomme jamais ; (Capellus) mais il laisse entendre qu'Aman le ferait, en qui il plaçait la confiance la plus illimitée. (Haydock) --- Si ce dernier soupçonnait que la reine appartenait à cette nation, il pouvait très prudemment s'abstenir de mentionner les Juifs même au roi, se contentant de les décrire afin qu'ils fussent facilement connus de ses agents ; et, en effet, le roi montra suffisamment les Juifs, en disant qu'ils suivaient des lois différentes de tout le monde.
(Houbigant) --- Les infidèles les représentent généralement comme une race méchante, ennemis de tous sauf de leur propre nation. (Tacite, &c.) --- Nous n'avons pas à nous demander si les catholiques sont peints des mêmes couleurs, car le diable est toujours le même. (Haydock) --- Quatorzième. Josèphe a le même jour, bien que le 13 soit spécifié en hébreu, etc., (chap. iii. 12.) et dans le grec et la Vulgate, chap. xvi. 20. Nous devons donc admettre que les Juifs pourraient être abattus les deux jours, ou que le grec est incorrect en ce lieu.
(Calmet) --- Salien pense qu'il ne serait pas licite d'épargner les Juifs plus longtemps que le 14ème jour ; (Ménochius) ou le carnage devait cesser le 14, comme à Suse, chap. ix. 17, 19. (Tirinus)
Comme si. Le grec, « comme étant délicat. Mais l'autre suivait, tenant son vêtement. Mais elle, rougissant au comble de sa beauté, avec un visage joyeux et ravissant, sentit la pression de la peur sur son cœur.