Troisième. La Septante et la Théodotion lisent "un quatrième", comme aussi [dans] le v. 12., (Calmet) assignant ainsi la moitié à être brûlée par la mort (la peste) et la famine. L'autre moitié du peuple est la proie de l' épée et de la captivité. La peste, la famine et l'épée, étaient les trois fléaux habituels laissés au choix de David, (2 Rois xxiv.) qui en détruisent ici chacun un quart, tandis que les autres deviennent captifs.

Pourtant, même de cette troisième ou quatrième partie, beaucoup s'engagent dans des grillades civiles et périssent. Saint Jérôme laisse entendre que la Septante est interpolée à partir de Théodotion, v. 12, et que leur version ne comprenait que le pentateuque. Mais les autres livres portaient au moins le même titre ; et il doit y avoir une erreur dans les mots astérisques, puisqu'ils se produisent dans l'hébreu, la Vulgate, etc., le troisième étant seulement substitué au quatrième : "Et un quart de toi tombera par l'épée.

" L'hébreu est un peu moins avilissant pour les Juifs, car il y aurait ainsi au plus un tiers conservé, au lieu d'une partie seulement d'un quart. Voir Deutéronome xxvii. 4., et Jérémie lii. 28. --- Prenez . Septante ajouter ici, "une quatrième partie; et le brûlera au milieu d'elle; et tu couperas un quatrième », &c. (Haydock) --- Il devait ainsi s'occuper d'une partie des cheveux pendant 390 jours, (Ménochius) ou à la fin. Rond, dans les villes près de Jérusalem, (Worthington) ou autour de l'image de celui-ci, chap. iv. 1.

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