Confessez donc vos péchés, etc. Divers interprètes exposent cela de la confession sacramentelle, bien que, comme l'observent les auteurs des annotations sur le Testament de Reims, ce n'est pas certain. Les mots les uns aux autres peuvent signifier qu'il ne suffit pas de confesser à Dieu, mais que nous devons aussi confesser aux hommes, et non à tout homme, mais à ceux que Dieu a nommés, et à qui il a donné le pouvoir de remettre péchés en son nom.

Je ne peux m'empêcher d'observer qu'aucune mention n'est faite, « dans la visite et la communion des malades », dans le livre de prières commun protestant, de ce passage confortable de saint Jacques, de l'appel aux prêtres de l'Église, de leur onction d'huile... et que ses péchés lui soient pardonnés. Peut-être ayant mis de côté ce sacrement, il leur a semblé préférable de ne rien dire de ces paroles.

Mais une confession telle qu'elle est pratiquée par tous les catholiques, y est du moins conseillée. " Le malade ", dit le livre de la prière commune, " ici sera poussé à faire une confession spéciale de ses péchés... Après quoi confession, le prêtre l'absoudra après cette sorte. Notre Seigneur Jésus-Christ, qui a a laissé le pouvoir à son Église d'absoudre tous les pécheurs, qui se repentent vraiment, te pardonne....et par son autorité qui m'a été confiée, je t'absous de tous tes péchés, au nom du Père, " &c.

Voici une confession spéciale, ou une confession de péchés particuliers ; voici un pouvoir de pardonner les péchés au nom de Dieu, reconnu comme étant donné à l'Église et aux prêtres ; voici les mêmes mots utilisés par chaque prêtre catholique dans le sacrement de pénitence. Ceci est clairement ordonné dans leur liturgie : dans quelle mesure cela est-il respecté, je ne sais pas. (Witham) --- L'un à l'autre. C'est-à-dire aux prêtres de l'Église, qui (v.

14.) il avait ordonné d'être appelé et amené aux malades : de plus, se confesser à des personnes qui n'avaient pas le pouvoir de pardonner les péchés, serait inutile. D'où le précepte ici signifie que nous devons confesser aux hommes que Dieu a nommés, et qui, par leur ordination et leur juridiction, ont reçu le pouvoir de remettre les péchés en son nom. (Chaloner) --- Priez les uns pour les autres. Ici est recommandée la prière en général, comme un devoir chrétien des plus nécessaires. Il les y encourage par l'exemple d'Elie [Elie]. (Avec H)

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