Si Christ n'avait voulu rien dire d'autre que que ses disciples fussent remplis de sa doctrine, qu'étant sa chair et son sang, cela n'aurait pas été difficile à dire ; cela n'aurait pas non plus choqué les Juifs. Il l'avait déjà dit dans la première partie de son discours : mais il continue en termes encore plus forts, malgré leurs plaintes ; et, comme ils ignoraient comment il tiendrait sa promesse, ils le quittèrent (Calmet) et suivirent l'exemple des autres Juifs incrédules, comme l'ont fait tous les futurs sectaires, en disant : comment cela peut-il être fait ?

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