J'ai pris le calice. Ce n'est pas le calice de son sang, (ce dernier est parlé du v. 20, et 1 Corinthiens xi. 25.) mais c'est la coupe que le maître du repas bénit avec cérémonie, puis en but et lui donna à tous les invités. Les Juifs modernes observent encore cette coutume ; non seulement à la Pâque, mais à toutes les autres grandes fêtes. Le père de famille verse du vin dans une coupe, le prend dans sa main droite, l'élève, le bénit, le goûte et le donne à l'invité. Notre Sauveur à cette occasion se conforme à la coutume;; et après le souper prend le calice, qu'il convertit en son propre sang. (Calme)

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