Marc 6:1
Après les miracles que le Christ avait accomplis, même s'il n'ignorait pas combien ils le méprisaient, mais pour qu'il n'y ait aucune excuse pour leur incrédulité, il daigna revenir vers eux. (Théophylactus)... [ Continuer la lecture ]
Après les miracles que le Christ avait accomplis, même s'il n'ignorait pas combien ils le méprisaient, mais pour qu'il n'y ait aucune excuse pour leur incrédulité, il daigna revenir vers eux. (Théophylactus)... [ Continuer la lecture ]
Saint Matthieu raconte qu'ils demandèrent : _N'est-ce pas le fils du charpentier ? Il n'est pas improbable que les deux questions aient été posées ; il était certainement bien naturel de le prendre pour un charpentier, qui en était le fils. (Saint Augustin) --- Ils étaient scandalisés par sa modeste... [ Continuer la lecture ]
_Et il ne pouvait [1] faire aucun miracle là-bas.]_ [BIBLIOGRAPHIE] dans l'Écriture, est plusieurs fois le même que _nolle. Donc Genèse xxxvii, il est dit des frères de Joseph, ils ne pouvaient pas, ( non poterant) c'est-à-dire ne voulaient pas, lui parler pacifiquement. Voir Jean XII. 39, &c._... [ Continuer la lecture ]
Il était habituel pour les Juifs de prescrire de l'huile comme une chose appropriée pour oindre les malades ; mais sa vertu dans le cas présent, lorsqu'elle était utilisée par les apôtres, n'était pas naturelle mais surnaturelle, et provenait de celui qui les envoyait ; car cette onction produisait... [ Continuer la lecture ]
L'Hérode mentionné ici était le fils d'Hérode, de qui saint Joseph s'enfuit avec Jésus et Marie en Égypte. (Saint Jean Chrysostome, hom. xlix. dans Matt.) --- Combien grande était l'envie des Juifs, est facile à concevoir à partir de ce passage. Ils peuvent croire que Jean est ressuscité d'entre les... [ Continuer la lecture ]
_Hérode, [2] &c. Le sens à la fois du texte latin et du texte grec semble être qu'Hérode entretenait et montrait un respect et une valeur particuliers pour Jean-Baptiste : pourtant certains l'expliquent, qu'il avait un œil vigilant sur lui, et ne cherchait qu'une occasion de prendre lui. (Avec H)_... [ Continuer la lecture ]
Il est d'usage, dans l'Écriture, de donner le sentiment généralement dominant à l'époque ; ainsi Joseph est appelé par la bienheureuse Vierge, le père de Jésus ; ainsi maintenant Hérode est dit être frappé de tristesse, parce qu'il semblait l'être à la compagnie à table, bien que dans sa propre poit... [ Continuer la lecture ]
L'histoire de l'Église nous apprend que les chrétiens avaient l'habitude de fréquenter ce tombeau avec une grande piété et un grand respect, jusqu'au règne de Julien l'apostat, époque à laquelle les païens, par haine du christianisme, brisèrent son tombeau et dispersèrent ses os ; mais aussitôt aprè... [ Continuer la lecture ]
_Pour deux cents pence. Voir Matthieu XVIII. 28. Les apôtres semblent prononcer ces paroles avec ironie, pour signifier qu'ils n'avaient pas assez d'argent pour en procurer une bouchée à chacun d'eux. (Avec H)_... [ Continuer la lecture ]
Les apôtres se trouvaient dans un lieu désert appartenant à Bethsaïda, qui en était probablement séparé par une baie ou un ruisseau qui se jetait dans le pays ; et Christ leur ordonna seulement de passer cela à la ville, où il aurait pu les rejoindre plus tard, lorsqu'il avait renvoyé le peuple. Mai... [ Continuer la lecture ]
Ainsi la miséricorde divine semble souvent abandonner les fidèles au plus fort de la tribulation, mais Dieu n'agit ainsi que pour éprouver leur patience et les récompenser plus abondamment. (Nicolas de Lyre)... [ Continuer la lecture ]
_Ils n'ont pas compris concernant les pains ; [3] c'est-à-dire qu'ils ne reflétaient pas à quel point le miracle était grand que Christ avait récemment accompli, sinon ils n'auraient pas été tellement surpris de sa marche sur la mer. (Avec H)_ [BIBLIOGRAPHIE] Non intellexerunt de panibus, _grec :... [ Continuer la lecture ]