Commentaire Catholique de George Haydock
Nombres 30:16
Cette. Septante, "le jour". S'il rétracte son consentement, il encourt toute la culpabilité. (Saint Augustin, q. 59.) La femme n'a pas besoin d'être inquiète, car la faute n'en est pas à elle. (Calmet) --- Si quelqu'un avait fait un vœu téméraire, il pouvait obtenir une dispense du tribunal de trois juges, ou d'un docteur en droit, qui lui enjoindrait d'offrir le sacrifice pour l'ignorance, de punir sa légèreté .
Voir Selden, Jur. vii. 2. Ceux qui rompent leur vœu doivent être flagellés parmi les Juifs, ce qui montre qu'ils n'approuvent pas, en général, les sentiments de ces rabbins que Fagius, un protestant, allègue, v. 3. Ils font une distinction entre les vœux et les promesses confirmées par un serment, v. 11. Les premiers changent la nature d'une chose, selon eux ; de sorte que, si une personne devait jurer de ne pas porter les phylactères ordonnés par Moïse, elle devait s'y conformer, mais pas si elle avait seulement promis sous serment de s'abstenir. Mais cette distinction est absurde. Aucun vœu ou serment ne peut obliger quiconque à transgresser la loi de Dieu. (Haydock)