Il lui répondit par sa force. C'est-à-dire que le peuple mentionné dans le verset précédent, ou le pénitent, en la personne de qui ce psaume est prononcé, a répondu au Seigneur selon sa force : c'est-à-dire selon le meilleur de sa puissance et de sa force ; s'enquérant de la rareté de ses jours : savoir s'il vivrait assez longtemps pour voir l'heureuse restauration de Sion, etc. (Chaloner) --- Le sens de la Vulgate est aussi bon que celui de l'hébreu actuel, "il a affaibli (affligé; Montanus) ma force, en chemin; Il a abrégé mes jours.

J'ai dit, mon Dieu, ne me fais pas partir au milieu », etc. --- Les captifs, ou ceux qui ont été libérés, s'adressent à Dieu, bien que le psalmiste lui-même puisse exprimer quelles prières il avait déversées dans ses liens. ( Calmet) --- La variation de la Septante et de l'hébreu trouve son origine dans les points ; et le texte a, sa force, très proprement, bien que les Juifs substitueraient « mon. » (Berthier) --- La stabilité de l'Église est donc prouvé par saint Augustin (Haydock)

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