Mais quand ils savaient qu'il était juif, tous d'une seule voix, en l'espace de deux heures, s'écrièrent : Grande est Diane d'Ephèse !

If Demetrius intended to kindle a fire, he certainly was successful beyond his design. No sooner had he closed his speech than some member of the guild or some other person in the audience coined a catchy phrase which struck the popular fancy: Great is Artemis of the Ephesians! And, full of anger as they were, the others took up the cry and carried it out to the street. In less time than it takes to tell about it, the disturbance had spread to all quarters; it filled the city, and surged back and forth like various liquids that have been poured together and cannot become settled.

Les rues étant beaucoup trop étroites pour un véritable spectacle de violence de la foule, les agitateurs et la populace ont été frappés par l'idée en même temps et se sont précipités dans le grand théâtre, probablement le plus grand du monde, son diamètre étant de 495 pieds et sa capacité de 24 500 personnes. Mais en chemin, dans leur course folle, ils parvinrent à s'emparer et à entraîner avec eux deux colocataires de Paul, les Macédoniens Gaius et Aristarque.

Ce dernier est mentionné aussi dans d'autres passages comme originaire de Macédoine, de la ville de Thessalonique, chap. 20:4 ; 27:2. Il est probable que ces deux hommes, mentionnés ici comme serviteurs de Paul, étaient des délégués de la congrégation de Thessalonique qui étaient avec Paul portant la contribution à la congrégation de Jérusalem. Ces hommes fidèles étant en danger de mort, Paul avait fermement l'intention de sortir et d'affronter la foule en colère, afin de les protéger de sa propre vie ; mais cela, les membres de la congrégation ne le permettaient pas.

Pour la foule furieuse, son apparence à ce moment-là aurait été comme un chiffon rouge et, selon toute possibilité, n'aurait rien pu accomplir. Et les disciples étaient secondés dans leurs efforts par quelques-uns des principaux hommes de la ville, les Asarches, les principaux prêtres de l'Empire romain dans les provinces, dont les fonctions comprenaient également la fourniture de jeux pour le peuple. Certains de ces hommes influents étaient décidément amicaux avec Paul, comme le montre cet acte de bonté, puisqu'ils ont pris la peine de l'envoyer et de le prier instamment de ne pas s'aventurer dans le théâtre.

Pendant ce temps, les membres de la foule s'exerçaient dans une belle frénésie, car ils continuaient à crier, quelque chose et quelque chose d'autre. Il n'y avait pas d'unité de pensée et de direction : c'était une assemblée illégale, tumultueuse, coulée ensemble comme des liquides qui ne se mélangent pas correctement. Et, comme d'habitude, quand une populace, une foule, surgissent du sol à de telles occasions, la majorité des gens n'avait aucune idée de pourquoi ils s'étaient vraiment réunis.

À ce stade, les Juifs de la ville, craignant que la fureur de la foule ne se retourne contre eux aussi, puisque Paul était juif et qu'eux-mêmes étaient opposés à l'idolâtrie, tentèrent d'avoir l'un des leurs, un homme. par le nom d'Alexandre, expliquez la situation à la multitude déferlante. L'homme essaya de suivre les instructions qu'il avait reçues alors que les Juifs le poussaient au front.

Mais à peine a-t-il levé la main, indiquant au peuple qu'il voulait parler, et, dans ce cas, tenir un discours de défense, que l'intelligence a fait le tour qu'il était juif. Qu'ils puissent tous voir assez clairement pour distinguer sa robe et ses traits, ou que les plus proches de l'arène ou de la scène aient passé le mot, la multitude entière, la foule furieuse, d'une seule voix de tous, comme le beuglement d'un monstre enragé. , reprit la phrase qui leur avait plu comme l'un des orfèvres l'avait criée : Grande est l'Artémis d'Ephèse ! C'était une démonstration sauvage d'une foule sans loi, mais une jouissance relativement inoffensive, en plus : cela satisfaisait leur idée du culte sans blesser personne.

Les autorités de la ville ne sont donc pas intervenues à ce stade, car toute opposition aurait enflammé la foule à des actes de violence. Ils étaient manifestement bien versés dans la psychologie de la foule et attendaient leur heure.

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