J'ai vu, j'ai vu l'affliction de mon peuple qui est en Egypte, et j'ai entendu leurs gémissements, et je suis descendu pour les délivrer. Et maintenant viens, je t'enverrai en Egypte.

Quand quarante ans furent accomplis, après que Moïse eut vécu quarante ans dans le désert près du mont Sinaï, connu alors aussi sous le nom d'Horeb, une étrange expérience lui arriva. L'ange du Seigneur, Exode 3:2 , l'ange au sens particulier du mot, indiquant la révélation du Fils de Dieu dans l'Ancien Testament, lui est apparu dans une flamme de feu d'un buisson, dans un buisson d'épines qui semblait tout enflammé.

Le phénomène a amené Moïse à se demander et à se rapprocher pour examiner la question de près. Et alors la voix du Seigneur lui vint du buisson, se désignant comme le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Moïse, maintenant complètement terrifié, n'osa même pas regarder de près ou enquêter sur le miracle. Mais le Seigneur lui en donna aussitôt la charge, lui ordonnant d'abord de délacer ses sandales, car le lieu où il se tenait était une terre sainte.

Et puis, avec toute la solennité et l'impressionnant, vint l'appel du Seigneur lui-même : Voyant que j'ai vu (j'ai eu des preuves plus que suffisantes de) l'affliction de mon peuple en Egypte, et j'ai entendu leurs soupirs, et je suis venu vers le bas pour les libérer; et maintenant, viens ici, je t'enverrai en Égypte. Ce que Moïse avait espéré et avait tenté de réaliser sans succès de son propre chef, devait maintenant devenir un fait par la volonté de Dieu, selon sa promesse.

Il s'agissait maintenant de la nomination de Dieu, non du choix de l'homme, et donc de la toute-puissance de Dieu pour soutenir l'appel. Avec l'appel de Dieu sur lequel compter, avec le commandement et la promesse de Dieu clairs, chaque serviteur du Seigneur peut partir avec une confiance joyeuse dans le succès assuré de son entreprise.

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