Si les hommes luttent et blessent une femme enceinte, la femme enceinte s'interposant entre les hommes querelleurs, de sorte que son fruit s'éloigne d'elle, qu'une fausse couche se produise, et pourtant aucun mal ne s'ensuit, si la femme elle-même n'est pas blessée et si sa capacité porter des enfants n'est pas entravé, il sera certainement puni, c'est-à-dire le coupable, selon que le mari de la femme l' imposera ; et il paiera comme les juges le détermineront; les parties lésées se voient allouer des dommages-intérêts selon le fond de l'affaire.

Continue après la publicité
Continue après la publicité