Si tu vois l'âne de celui qui te hait couché sous son fardeau, poussé à terre par la grandeur de la charge qui pèse sur lui, et que tu t'abstiens de l'aider, tu l'aideras sûrement avec lui, littéralement : " d'aider ?" Assurément, le sentiment de vengeance d'aucun homme n'atteindrait le point de permettre à une bête muette de souffrir. Il n'y a qu'une chose à faire dans une telle extrémité : soulager la bête de son fardeau, l'aider à se relever, aider son maître à sauver le fardeau. Le fait qu'une telle conduite exige l'abnégation est implicite, mais le Seigneur veut qu'une telle abnégation soit pratiquée.

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