a donné sur l'usure, et a pris l'augmentation : vivra-t-il alors ? Est-il possible pour lui de devenir un participant de cette plénitude de vie que Dieu a destinée à ses enfants ? Il ne vivra pas ; il a fait toutes ces abominations ; il mourra sûrement, sera condamné à la mort éternelle s'il persiste dans sa méchanceté ; son sang retombera sur lui, il n'aura qu'à s'en prendre à lui-même du sort terrible qui le frappera sûrement.

La pensée de ce paragraphe est donc la suivante : si le méchant fils d'un homme juste sera puni s'il commet ne serait-ce qu'un seul péché de ceux que son père abhorrait, combien plus s'il devenait coupable de tout le catalogue des péchés qui sont énumérés ! Tant pis pour la deuxième génération et sa méchanceté.

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