une. Et il laissa tout ce qu'il avait entre les mains de Joseph ; et il ne savait rien de ce qu'il avait, sauf le pain qu'il mangeait. La confiance de Potiphar en Joseph était si absolue qu'il remettait entre ses mains toutes ses affaires et ne s'occupait d'aucune partie de sa gestion. Il ne s'intéressait et ne se préoccupait que de sa nourriture, de ses repas. Ce n'était pas une simple paresse orientale, mais aussi une bonne part de sagesse orientale, car plus il laissait Joseph à lui-même, mieux il était, plus il devenait riche.

b. Et Joseph était une bonne personne, et bien favorisé. C'était un beau jeune homme, bien proportionné, bien bâti.

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