Les hommes le craignent donc, c'est-à-dire ceux qui suivent la vraie sagesse ; Il ne respecte pas ceux qui sont sages de cœur, Il ne considère pas ceux dignes d'attention qui sont fiers de leur propre connaissance, sages dans leur propre vanité. Toute la connaissance que les hommes ont maintenant de Dieu n'est qu'imparfaite. Ce n'est que lorsque ce qui est parfait sera venu, que ce qui est en partie sera aboli.

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