mais la septième année, il y aura un sabbat de repos pour le pays, un sabbat pour l'Éternel ; tu ne sèmeras pas ton champ, ni ne tailleras ta vigne. La terre devait être sauvée de la main de l'homme, de peur que sa force ne s'épuise à des fins terrestres, et l'homme devait être sauvé de la corvée ininterrompue qui tendait à enchaîner ses pensées au sol et au labeur amer à la sueur de ses front qui lui était lié.

Continue après la publicité
Continue après la publicité