car je t'élèverai à un très grand honneur, et je ferai tout ce que tu me diras, donnant ainsi pratiquement à Balaam la permission de mentionner sa propre récompense. Viens donc, je t'en prie, maudis-moi ce peuple. En tant que vrai païen, Balak se croyait apparemment capable d'influencer non seulement Balaam, mais aussi ce dieu mystérieux qui dirigeait les affaires de Balaam.

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