Mon cœur dit une bonne affaire, le cœur du poète s'émeut de la bonne parole, du message merveilleux qu'il veut faire passer, de l'Evangile-nouvelle consolante : je parle des choses que j'ai faites touchant le Roi, consacrant son poème au grand roi, le Messie; ma langue est la plume d'un écrivain prêt, d'un scribe rapide, les pensées, telles qu'inspirées par le Saint-Esprit, coulent dans sa plume en un flot ininterrompu.

Le roi auquel il adresse son hymne a rempli son esprit de manière à guider sa plume dans le récit élogieux qu'il énonce ici, un psaume du Christ, le Messie, dans son merveilleux et avide amour pour son épouse, l'Église. Le Roi est maintenant directement adressé.

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