Commentaire de Frederick Brotherton Meyer
2 Rois 4:25-37
le garçon mort ressuscité
Il y a une belle illustration dans ce chapitre d'un noble respect pour la bonté, de la gratitude d'un homme bon et de la grande récompense qui ne manque jamais à ceux qui traitent avec bonté les enfants de Dieu.
Il ne suffit pas de mettre le bâton, fût-ce celui du prophète, sur le visage froid et doux d'un enfant. Notre doctrine et nos préceptes peuvent être assez bons et droits, mais quelque chose de plus est nécessaire. Il ne doit y avoir ni bâton, ni serviteur, ni intermédiaire, mais nous-mêmes, notre cœur contre le cœur immobile, nos lèvres contre les lèvres chères et froides. C'est en nous donnant aux enfants, en leur transmettant notre sympathie la plus tendre et la plus forte, qu'une nouvelle vie leur viendra.
Baladez-vous dans votre maison ! Fermez la porte à vous et à l'enfant ! Priez le Seigneur ! Donnez-vous à la grande œuvre de sauver l'âme de la mort ! Que la mère prie dans la pièce du bas ! Appel à la petite âme à s'éveiller et à vivre. Votre foi et votre prière ne peuvent manquer d'une réponse.