Apocalypse 21:1-27

La fin sans fin du mal est passée avant la vision du voyant, et il observe maintenant l'ordre qui en résulte. La ville sainte apparaît. Vers une cité de Dieu, les hommes avaient regardé à travers de longues générations. Maintenant, cela se manifeste. Dieu vient demeurer avec les hommes. Il y a un nouvel ordre des choses, caractérisé par le rire sans larmes, la vie sans la mort, le chant sans deuil, le contentement sans pleurer, le plaisir sans douleur.

En voyant la vision, Jean entendit une voix dire : « Voici, je fais toutes choses nouvelles », et il fut chargé d'écrire. Toutes choses arrivent, parce qu'Il est l'Alpha et l'Oméga.

Comme l'un des anges qui avait les sept coupes avait appelé le voyant à contempler la grande prostituée, ainsi maintenant le même, ou un autre des sept anges, l'a appelé à contempler l'Epouse dans la gloire de la grande ville. Radieuse en effet est la révélation. C'est une ville d'exclusion, ayant une muraille grande et haute ; et d'inclusion, ayant des portes s'ouvrant dans toutes les directions. Les noms des tribus sur les portes suggèrent les tempéraments variés de la vie humaine rendue pure comme incorporée dans le nouvel ordre social.

Les noms des apôtres de l'Agneau sur les fondements signifient que le service de la souffrance a été le fondement même sur lequel la ville est construite. Aucun temple de culte localisé n'est trouvé, mais la présence de Dieu est partout connue et ressentie. Au-delà de la ville se trouve la nouvelle terre, avec des nations et des rois marchant à la lumière de la gloire de Dieu. En sont exclues toutes les choses impures.