Exposition de G. Campbell Morgan
Daniel 4:1-37
La dernière histoire liée au règne de Nabuchodonosor consistait en le propre manifeste du roi, exposant les relations du Dieu Très-Haut avec lui.
L'attribution d'ouverture de louange est plus remarquable quand on se souvient qu'elle exprimait la conviction d'un monarque aussi puissant que Nabuchodonosor. L'histoire du rêve qui l'a troublé suit. Cela lui est venu au milieu de la prospérité et de l'aisance dans son palais. Ses magiciens furent incapables de lui donner une interprétation, et Daniel fut amené devant lui. Il lui décrivit minutieusement sa vision.
Le fait que le roi ait rappelé que son rêve était symbolique est mis en évidence par le changement d'utilisation du pronom masculin et la déclaration que son cœur devait être changé de celui de l'homme et devenir comme celui d'une bête.
Daniel a été « étonné », évidemment parce qu'il a immédiatement vu l'application du rêve au roi, et a commencé son interprétation par l'adresse courtoise, exprimant son sentiment de la calamité sur le point de s'abattre sur le roi. Néanmoins, fidèle à la vérité, il en interprète le sens pour le roi.
Il a ensuite appelé Nabuchodonosor à se détourner du péché et à faire preuve de miséricorde envers les pauvres afin que sa tranquillité puisse être prolongée.
Un an plus tard, le rêve s'est réalisé. Nebucadnetsar n'a pas obéi à l'appel de Daniel, et tandis qu'il se vantait d'avoir bâti la grande ville, Babylone, par son propre pouvoir et pour sa propre gloire, une voix vint du ciel pour lui dire que le royaume lui était retiré, et que tout ce que Daniel avait prédit s'accomplirait. Il fut immédiatement frappé de folie et chassé du milieu des hommes pour habiter et manger avec les bêtes des champs.
Enfin, sa raison revenant, Nebucadnetsar reconnut le Dieu des cieux et fut restauré dans son royaume, louant le Roi des cieux dont les œuvres sont vraies et dont les voies sont le jugement.