Ici commence la dernière section du Livre des Juges qui est de la nature d'un appendice. Les événements enregistrés ici doivent avoir eu lieu peu après la mort de Josué. Ils nous donnent un tableau de l'état intérieur du peuple, et il est probable qu'ils ont été ajoutés dans ce but par l'historien.

L'acte de Michée était une violation du deuxième commandement. Il s'est fait et pour sa maison certaines images. Ce faisant, il n'adoptait pas les idolâtries des païens. Le langage de sa mère révèle qu'elle reconnaît Jéhovah lorsqu'elle dit : « Béni soit mon fils de Jéhovah. De plus, les propres paroles de Michée, lorsqu'il persuadait un Lévite d'agir comme son prêtre, montrent la même chose : « Maintenant, je sais que Jéhovah me fera du bien... » Les images étaient destinées à l'aider dans l'adoration de Jéhovah, mais elles étaient nettement interdit, comme nous l'avons dit, dans le deuxième commandement.

Toute l'histoire est une (révélation d'un état dégénéré. Michée avait volé sa mère. En faisant la restitution, il accompagna l'acte, à son instigation, de ce qu'elle supposait être un mouvement religieux. Le consentement du Lévite à devenir prêtre en la maison de Michée pour gagner sa vie est une autre révélation de la dégénérescence. Michée tentait de maintenir sa relation avec Dieu en violant les commandements de Dieu. Le Lévite a dégénéré en une tentative d'assurer son propre confort matériel par le compromis.

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