Le roi descendit de la montagne et de l'enseignement afin de rapprocher le royaume de son peuple et de lui donner des exemples de ses bienfaits. Quelle merveilleuse application de sa puissance ; la lèpre, la paralysie, la fièvre, tout vole devant lui et marque le cosmopolitisme de son don : un lépreux, un romain, une femme, tous méprisés dans l'esprit juif. En ce soir merveilleux, où les foules se rassemblaient, et le roi prenait leurs infirmités et portait leurs maladies, quelle révélation radieuse il leur donna de la puissance et de l'amour de son cœur, et donc du privilège d'entrer dans son royaume.

Un temps de tamisage et de test a suivi. Des hommes qui voulaient le suivre, mais- Ils ont eu leurs successeurs au fil des ans, tout comme les Gadaréniens, qui, lorsqu'il s'immisça dans leur commerce illicite, lui demandèrent formellement de partir, malgré le fait qu'il avait laissé sur leurs rivages un homme qui par sa venue, il avait transformé de la malédiction de la campagne en un citoyen respectueux des lois. Même les disciples qui lui étaient le plus étroitement associés avaient si peu de confiance qu'ils ne croyaient pas en sa puissance à moins de le voir à l'œuvre. Ils doivent le réveiller pour calmer la tempête. En grâce, il apaisa la tempête, mais il réprimanda aussi le manque de foi des disciples.

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