'Mais j'ai déterminé ceci pour moi-même, que je ne reviendrais pas à vous avec chagrin. Car si je te fais pitié, qui donc est celui qui me fait plaisir, sinon celui qui se plaint de moi ? Et j'ai écrit cela même, de peur que, quand je suis venu, j'aurais de la peine de ceux dont je devrais me réjouir, ayant confiance en vous tous, que ma joie est la joie de vous tous.

Le désir de Paul était de leur apporter de la joie, pas de la tristesse. Ainsi, il avait décidé qu'après sa précédente visite blessante, il ne leur rendrait plus visite jusqu'à ce qu'il puisse venir dans la joie. Car comment aurait-il pu faire de la peine face à face ceux qui devraient plutôt porter la joie à son cœur s'ils avaient été dans le bon état d'esprit pour recevoir ses paroles, ceux qu'il aimait ? C'est pourquoi il avait écrit sa lettre sévère, persuadé que ce qu'ils voulaient vraiment était en fait ce qu'il voulait, et que donc venir leur faire du chagrin par sa présence inutilement, alors qu'il devrait se réjouir d'eux, n'était pas à considérer. . Car il était convaincu qu'à la fin ce qui lui apportait de la joie leur apporterait de la joie et ainsi ils accepteraient sa lettre et résoudraient la situation.

Cela ne signifie pas simplement que Paul ne pouvait pas supporter que les gens pensent du mal de lui, et que tout ce à quoi il pensait était sa propre joie. Son souci était plutôt de ne pas causer de frictions qui pouvaient être durables. De sorte que ceux qu'il devrait à l'avenir aider et dont il se réjouirait alors, ne soient pas rebutés au point qu'il ne puisse plus les aider à l'avenir, de sorte que ni l'un ni l'autre ne se réjouiraient. Il pensait à eux et à leur avenir, et à l'harmonie et à la croissance de l'église pas à lui-même.

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