' Et c'est la manière de la libération. Tout créancier doit libérer ce qu'il a prêté à son prochain; il ne l'exigera pas de son prochain et de son frère, parce que la libération de Yahvé a été proclamée. D'un étranger tu peux l'exiger, mais tout ce qui est à toi est avec ton frère, ta main le relâchera.'

La libération doit être accordée aux voisins et aux frères, et non aux étrangers. Encore une fois, nous devons reconnaître qu'un tel emprunt entre Israélites n'aurait lieu que dans des circonstances de besoin réel. Ce n'était pas en ce sens une société « emprunteuse ». Ainsi, la probabilité est que si la personne n'avait pas été en mesure de rembourser avant la septième année, cela indiquerait une pauvreté profonde. C'est pourquoi Yahvé dans sa bonté proclame la libération de la dette.

Ce n'était pas la charte d'un voyou, et le créancier, qui se portait vraisemblablement bien lui-même, devait volontairement renoncer à la dette, reconnaissant le grand besoin du débiteur, parce qu'il était reconnaissant de ce que Yahvé lui avait donné.

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