"Maintenant, je vous prie, faites un pari avec mon maître le roi d'Assyrie, et je vous donnerai deux mille chevaux, si vous pouvez de votre côté mettre sur eux deux mille cavaliers."

Maintenant, il cherchait à souligner la faiblesse d'Ézéchias par davantage de dérision. Qu'ils comparent simplement la taille de leur cavalerie. Le verbe 'arabe signifie 'mettre en gage' et le hithpael 's'engager soi-même', par exemple dans un pari. Le défi était de savoir si Ézéchias pouvait produire deux mille cavaliers capables. Puis, s'il y parvenait, le roi d'Assyrie leur donnerait deux mille chevaux à monter.

Le but du pari offert était de démontrer à la fois la pauvreté de Juda en ce qui concerne la main-d'œuvre compétente à cet égard, et aussi afin de souligner qu'ils avaient peu de chevaux à eux. Qu'ils n'avaient pas de cavalerie à proprement parler. En revanche, l'Assyrie, pour sa part, pouvait facilement épargner deux mille chevaux, sans s'en apercevoir. L'accent est mis sur la faiblesse de la cavalerie d'Ézéchias, comparativement à une poignée, en contraste avec l'énorme cavalerie assyrienne que tous pouvaient voir là-bas, attendant avec impatience leur opportunité. Il était destiné à affaiblir la détermination des personnes qui écoutaient sur le mur.

Le mauvais hébreu du Rabshakeh, fidèlement enregistré ici, est en fait aplani dans 2 Rois, confirmant qu'Isaïe n'est pas une copie de ce document.

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