« Au son du cri de vos tireurs, la campagne tremblera,

Et tous ceux qui manient l'aviron, les marins, tous les tireurs de corde de la mer,

Descendront de leurs navires, ils se tiendront sur la terre,

Et fera entendre leur voix sur toi, et criera amèrement,

Et jetteront de la poussière sur leurs têtes, ils se noieront dans la cendre,

Et ils se rendront chauves pour toi, et se vêtront d'un sac,

Et ils te pleureront dans l'amertume de l'âme, avec un deuil amer.

Et dans leurs lamentations, ils élèveront une lamentation pour toi,

Et se lamenter sur toi : « Qui est comme Tyr ?

Comme celle qu'on fait taire, au milieu de la mer ? "

Conscients de leur détresse, les équipages des autres navires se rassembleront sur le rivage, et ils crieront et pleureront amèrement et pleureront leur décès. La poussière et les cendres, la calvitie et le sac, sont autant de signes de détresse. Et celle qui a régné sur les vagues se retrouvera détruite par les vagues. Elle avait dit : « Je suis parfaite en beauté », mais maintenant le cri est : « Qui est comme Tyr, qui n'a rien perdu au milieu de son royaume la mer ? Comment les puissants sont-ils tombés. Ainsi fera Yahvé à Tyr orgueilleux et cupide. Elle va tout perdre.

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