Jean 5:7

Le malade lui répondit: "Monsieur, je n'ai personne, quand l'eau est trouble, pour me mettre dans la piscine, mais pendant que je descends, un autre descend devant moi".

Quelqu'un a peut-être amené l'homme là-bas chaque jour, ou il a peut-être été là en permanence, mais personne n'était suffisamment inquiet pour rester avec lui pour l'aider à descendre dans l'eau. Peut-être avaient-ils peu confiance dans les pouvoirs de la piscine, ou peut-être avaient-ils déjà essayé et l'avaient-ils trouvé sans espoir. Il y aurait toujours quelqu'un d'autre qui serait plus agile. Dans quelle position écœurante il se trouvait. Espoir constant, et pourtant désespoir.

« Quand l'eau est trouble ». Si l'explication dans Jean 5:2 est une glose, cela reste inexpliqué, mais il se peut que Jean ait supposé que tout lecteur lirait dans ses mots leur signification et ne voulait pas faire connaître une superstition. Le « mouvement de l'eau », peut-être causé par une source intermittente, était probablement considéré par beaucoup comme un phénomène divin. Des guérisons psychologiques ont sans doute eu lieu.