« Et tu sèmeras la huitième année, et tu mangeras des fruits, l'ancien magasin ; jusqu'à la neuvième année, jusqu'à ce que ses fruits entrent, vous mangerez l'ancien magasin.

Ainsi, dans la septième et la huitième année, ils mangeraient « le vieux magasin », celui qui avait été mis en place la sixième année.

D'autres voient « la septième année » dans Lévitique 25:20 comme faisant référence à la quarante-neuvième année. Mais il faut noter que la « cinquantième année », l'année de Yubile, ne commence pas au début de l'année, le premier jour du premier mois (Abib), mais commence le dixième jour du septième mois, le Jour des Expiations, et donc au milieu de l'année, vraisemblablement de la quarante-neuvième année commençant le premier jour d'Abib. Elle n'est donc que vaguement appelée la « cinquantième année », car c'est une année commençant à une date différente.

Ceci est tout à fait en accord avec l'usage en ces temps où les calendriers n'étaient pas strictement élaborés. Mais parler alors de huitième et neuvième année serait pour le moins déroutant. La première année de la nouvelle période de Yubile a probablement commencé également la cinquantième année, de sorte que la «cinquantième année» a couvert la dernière partie de la quarante-neuvième année et la première partie de la première année suivante qui a commencé la nouvelle période de quarante-neuf ans. .

Cela signifierait que les années sabbatiques, comme on pourrait s'y attendre en comparaison avec le sabbat, continueraient à être la septième année comme numérotée à partir de la septième année précédente sans que la « cinquantième année » ne change la séquence. La « cinquantième année » n'était donc pas une année agricole, en accord avec les autres années, mais une année comptable sur une base différente, au cours de laquelle s'effectuait la grande libération.

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