'Et des fonctionnaires vinrent aussi se faire baptiser, et ils lui dirent : "Maître, que devons-nous faire ?" Et il leur dit : « N'extorquez pas plus que ce qui vous est assigné. » '

Les percepteurs des impôts et des douanes sont alors venus et ont demandé ce qu'ils devaient faire. Ceux-ci seraient considérés par la plupart comme impurs et comme des parias, presque pires que les Gentils, mais Jean n'a pas dit : « Quittez votre travail de trahison » (ce que beaucoup auraient dit), il leur a dit de ne pas utiliser leur bureau pour tromper les gens. . Ils ne devraient percevoir que ce qui était dû et ne prendre que le montant convenu pour eux-mêmes qui était raisonnable.

Il reconnaissait que dans ce monde les percepteurs d'impôts étaient nécessaires. Mieux vaut alors en avoir des honnêtes que des malhonnêtes. Cela démontre également son manque d'accent sur l'impureté rituelle, ce qui rend encore moins probable que son baptême ait été lié de quelque manière que ce soit à cette idée.

Ses paroles étaient très nécessaires. Les principaux collecteurs d'impôts ( Luc 19:2 ) achetaient le droit de percevoir des impôts sur une certaine superficie pour une somme convenue, et avaient ensuite le droit de conserver tout ce qu'ils obtenaient. Les percepteurs travaillaient alors pour et étaient responsables devant le percepteur en chef. Il était courant pour ces collecteurs d'impôts de chercher à extraire beaucoup plus d'impôts que ce qui était dû, utilisant souvent les soldats qui les accompagnaient pour battre et intimider les gens (et pire encore) pour leur remettre plus que ce qui était dû.

Ensuite, ils se créaient un surplus pour eux-mêmes et leurs assistants. Ils sont devenus très riches ( Luc 19:2 ) et très haïs, surtout en Palestine qui n'éprouvait aucun impôt autre que les leurs religieux.

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