« Et il arriva un de ces jours, qu'il enseignait, et il y avait des pharisiens et des docteurs de la loi assis à côté, qui sortaient de chaque village de Galilée, de Judée et de Jérusalem, et la puissance du Seigneur était avec lui à guérir.

Après une vague note de temps, omettant la mention de Capharnaüm (ce qui démontre qu'il n'est pas trop soucieux de mentionner des noms de lieux, pas qu'il ne les connaît pas), Luc nous présente maintenant Jésus comme il enseigne. D'après ce qui suit, il était clairement assis dans une maison et regardait par la porte ouverte. Comme être dans le bateau plus tôt, cela empêcherait les foules de le presser. A proximité, l'observant, se trouvaient des pharisiens et des docteurs de la loi (rabbins).

Ils étaient venus en tant que juges autoproclamés pour le vérifier, « de tous les villages de Galilée, de Judée et de Jérusalem ». Cela ne signifiait pas nécessairement que chaque village de Galilée contenait au moins un pharisien, mais que tous les villages qui avaient des pharisiens en eux étaient représentés. Ils avaient clairement décidé qu'il était important qu'ils soient tous ici. Certains venaient aussi de Judée et de Jérusalem. (C'est la lecture la plus probable et la mieux attestée.

D'autres lectures suggèrent que ce sont les foules qui venaient de « tous les villages de Galilée, de Judée et de Jérusalem »). A présent, sa renommée s'était étendue au loin et même la Judée et Jérusalem s'y intéressaient.

'Et la puissance du Seigneur était avec lui pour guérir.' Cela suggère qu'un certain nombre de guérisons avaient déjà eu lieu. Mais ce serait particulièrement pertinent dans ce qui allait suivre, car Jésus utiliserait ce pouvoir de guérir comme preuve de son autorité globale.

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