'Mais quand l'anniversaire d'Hérode arriva, la fille d'Hérodias dansa parmi les gens rassemblés ('au milieu'), et fit plaisir à Hérode.'

Et puis il y avait eu un événement malheureux pour un homme dont la vie était régie par le plaisir, la boisson et la luxure, et qui ignorait la Loi de Dieu. C'était son anniversaire. Et lors du rassemblement de ceux qui se sont réunis pour lui faire honneur (une coutume hellénistique et non juive), il y avait des danses publiques. Et Salomé, la fille d'Hérodias (probablement âgée d'environ quatorze ans), qui était apparemment une salope dans l'âme, avait dansé, sans aucun doute de manière suggestive (la plupart de ces danses étaient suggestives.

C'était un objectif principal) et certainement efficacement, devant l'assemblée, et avait attisé les désirs du roi ivre. Un tel comportement n'était pas ce à quoi on s'attendrait d'une fille de tétrarque dans la communauté juive, et le fait qu'il l'ait permis montre à quel point il s'était enfoncé. Mais il avait peu de respect pour la loi juive ou les sentiments juifs. Sa danse l'avait ému émotionnellement, à tel point qu'il voulait lui faire plaisir. Elle était après tout sa belle-fille. Il n'aurait donc pas l'impression qu'une demande, faite par quelqu'un avec qui il avait probablement beaucoup de familiarité, soit susceptible de constituer une menace pour sa position.

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