Car qu'est-ce qui est le plus facile, de dire : "Tes péchés sont pardonnés", ou de dire : "Lève-toi et marche" ? '

Il les a ensuite défiés sur la base de l'évidence de ses œuvres puissantes. Ce qui était plus facile, de dire : « Vos péchés sont pardonnés » ; ou dire : « Lève-toi et marche ? » La réponse était qu'ils étaient tous deux impossibles à l'homme, mais qu'ils étaient tous deux également possibles à Dieu. Et si Dieu accomplissait l'un par l'intermédiaire d'un homme de son choix, cela ne démontrerait-il pas alors son approbation de cet homme dans tout ce qu'il a fait ? Car tous savaient que Dieu n'accomplirait pas ses œuvres puissantes à travers un blasphémateur. Ainsi, il a établi la preuve de son droit de déclarer le pardon des péchés catégoriquement et fermement sur la base de sa capacité à accomplir de grandes merveilles par la puissance de Dieu.

C'était une question à laquelle ils ne pouvaient pas répondre (ce qui était leur tendance quand ils savaient que vraiment leur cas avait été détruit - Marc 11:27 ). Ils pouvaient difficilement dire que les miracles de guérison n'étaient pas de Dieu. Eh bien, ils avaient eux-mêmes enseigné que Dieu n'agissait qu'au nom de ceux qui Lui plaisaient. Pourtant, ils n'osaient pas dire qu'un homme qui pouvait guérir de manière cohérente était de Dieu, parce qu'ils savaient très bien que Jésus pouvait le faire.

En revanche, ils ne pouvaient le nier devant la foule, car ils les auraient simplement regardés avec étonnement. Car c'était leur péché fondamental, le « blasphème contre le Saint-Esprit », qu'ils n'accepteraient rien qui ne soit pas conforme à leur enseignement, même si la preuve qu'il venait de Dieu, et que l'Esprit était à l'œuvre, était indiscutable.

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