Après le discours, à la caserne. Comme Stephen, Paul est interrompu et menacé de lapidation. Le jet de poussière en l'air doit probablement être compris comme l'expression d'une fureur aveugle ( cf. 2Ma_4:41). Mais le tribun l'emmène dans la caserne et s'occupe de lui. L'histoire est reprise d' Actes 21:38 .

Si Paul est un meneur de sédition, l'affaire doit être traitée immédiatement. L'examen devait être avec flagellation, comme il était d'usage avec les esclaves et les personnes non citoyens (voir Luc 23:16 ). L'apôtre est étendu pour ( mg.) la flagellation avec des lanières de cuir, quand il rétorque au centurion responsable (comme à Philippes, Actes 16:37 ) qu'il est un Romain qui ne doit pas être soumis à un tel usage, et qu'il n'y a pas eu de procès.

Le tribun vient s'enquérir du premier point : il est Romain lui-même, par achat, et sait qu'il est allé trop loin. C'était un crime de lier un citoyen romain (Cic. in Verrem, ii. 5). Sur la citoyenneté de Paul, qu'il a héritée de son père, comme il peut-être de la sienne, voir Ramsay, Cities of Paul : Tarsus.

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