En réponse à sa prière, Yahvé vient du Sinaï, chevauchant sur ses chars victorieux, entouré de gloire et de splendeur, son arc découvert et son carquois rempli de flèches, faisant s'effondrer les montagnes et trembler la terre elle-même, les flots hurler , et le soleil et la lune pour oublier leur éclat, perçant la tête de l'ennemi, alors qu'il apporte le salut à son peuple. Si terrible est la vue que tout le corps du poète tremble, ses lèvres tremblent, et ses pas tremblent sous lui ; il ne peut retenir ses sympathies même pour l'ennemi qui envahit sa patrie.

Dans l'original, les temps varient entre l'imparfait et le parfait descriptif (le futur étant conçu comme déjà présent dans l'imagination). Il est donc préférable de rendre l'ensemble par le présent graphique.

Habacuc 3:3 . Teman : sur le NW. d'Édom. mont Paran : entre le Sinaï et Kadesh-Barnea. la louange : plutôt ce qui appelle la louange, c'est -à- dire la splendeur ou la majesté de Dieu.

Habacuc 3:4 . Lisez probablement, Comme le feu est la luminosité sous lui. rayons : allumés. cornes ( cf. Exode 34:29 ). Lire à ses côtés ( mg.). cacher : ou, voile.

Habacuc 3:5 . Lisez, Devant Lui marche la Peste ; à ses pieds (derrière lui) traque la peste (ou la fièvre).

Habacuc 3:6 . Avec un ou deux légers changements (en partie suggérés par LXX) lire, Il se tient debout et ébranle la terre ; Il regarde et fait sauter les collines. Les anciennes montagnes sont brisées, les collines éternelles s'effondrent. La dernière clause. Même les chemins éternels devant Lui, est sans aucun doute une expansion.

Habacuc 3:7 . Lisez, Peur sont les tentes de Cushan. Cushan : Juges 3:8 *, cf. Nombres 12:1 *.

Habacuc 3:8 . Les deux premières clauses sont des variantes. Lisez, sur vos chars victorieux, à savoir. les nuages ​​d'orage.

Habacuc 3:9 . Pour la clause dénuée de sens, Les serments, etc., lisez (avec un groupe de manuscrits LXX) Votre carquois est rempli de tiges. Car avec les rivières lire dans les rivières.

Habacuc 3:10 . Pour La tempête, etc., lisez Les nuages ​​déversent des eaux ( cf Psaume 77:17 ). La dernière clause doit, sans aucun doute, être prise avec Habacuc 3:11 , et le couplet doit se dérouler comme suit: Le soleil oublie son lever, La lune s'arrête dans sa demeure (groupe LXX).

Habacuc 3:11 . Un autre rendu est, Tes flèches partent comme un éclair, Ta lance voltigeante est comme un éclair.

Habacuc 3:13 . ton oint : avant très probablement le peuple, traité comme une unité personnifiée. La seconde moitié du verset est quelque peu surchargée et corrompue. Lis probablement, Tu brises la maison des méchants, Tu mets à nu les fondations jusqu'à la tour.

Habacuc 3:14 . Avec quelques changements (notés dans le texte de Battel) nous pouvons traduire le premier couplet comme suit : Avec tes flèches tu lui transperce la tête, Comme de la paille ses guerriers sont dispersés. Le reste du verset est encore plus corrompu, et est probablement interpolé. Duhm corrige le texte à lire, les tyrans cachent un filet, pour dévorer les pauvres en embuscade.

Habacuc 3:15 . A lire Habacuc 3:8 avant Habacuc 3:8 .

Habacuc 3:16 . ventre : la charpente. Pourriture : pourriture ou pourriture ( cf. Psaume 32:3 ). J'ai tremblé, etc. : c'est plutôt mes pas qui tremblent sous moi (LXX). Avec un léger changement dans le texte, traduisez le reste du verset, je soupire pour le jour (l'heure) de trouble qui s'abat sur le peuple qui m'envahit (en troupes).

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