Un post-scriptum. Les lecteurs sont priés de prêter une attention patiente à l'épître précédente, qui est décrite comme une parole d'exhortation, indiquant ainsi clairement son but pratique. Leur patience est d'autant plus nécessaire que l'argument est en peu de mots, c'est-à-dire très condensé, et parfois difficile à suivre. Ils sont informés de la sortie de prison de Timothée et de l'intention de l'écrivain de leur rendre visite en sa compagnie.

Les salutations sont envoyées par les chrétiens italiens. C'est le seul indice précis qui nous soit donné sur la destination de l'épître, et malheureusement il peut conduire dans deux directions. L'écrivain séjourne peut-être dans une église italienne, dont les membres offrent leurs salutations à des frères d'ailleurs ; ou il peut s'adresser à une église italienne, dont les membres exilés se joignent à lui dans ses salutations ( cf. Exp. janvier 1917). Une seconde doxologie, plus brève, clôt l'épître.

Continue après la publicité
Continue après la publicité