Juges 9:50-57

La mort d'Abimélec. Il continua à brûler et à détruire jusqu'à ce que de la tour de Thèbez (p. 30) une femme jette une meule de moulin qui lui transperce le crâne. Pour ne pas dire qu'il était mort par la main d'une femme, il supplia son porteur d'armure de lui donner le coup de grâce. Sa scène de mort ressemble de manière frappante à celle de Saül, en la personne de qui la royauté a été ravivée ( 2 Samuel 1:9 ).

Juges 9:56 . Les derniers vers indiquent la morale d'un conte que les poètes grecs auraient tissé dans un drame tragique du destin. Dans le champ du destin, les hommes récoltent comme ils ont semé.