DÉCHARGES DES MÂLES. Ceux-ci sont évidemment considérés comme
anormaux. Le plus grand soin est apporté à marquer la contagion qui
en découle. On ne saurait prendre de plus grandes précautions avec
ce qui est la maladie la plus répugnante de notre civilisation
moderne. Le lit, le siège, quiconque a t... [ Continuer la lecture ]
LÉVITIQUE 15. PROBLÈMES. Quatre types sont considérés ; le premier
d'entre eux ( Lévitique 15:1 ) est apparemment pathologique, bien
qu'il n'y ait aucune référence aux maladies vénériennes, qui sont
inconnues dans l'AT ; la seconde ( Lévitique 15:16 ) normale ; la
troisième ( Lévitique 15:19 ), norm... [ Continuer la lecture ]
ÉMISSIONS, VOLONTAIRES OU NON. Ici, seul le lavage est nécessaire.
L'existence de la première partie de la loi peut bien contribuer à
dissiper l'horreur avec laquelle le phénomène est souvent
considéré inutilement. Dans la deuxième partie, il n'y a aucune
suggestion de péché, comme dans les écrits d... [ Continuer la lecture ]
Ici, le cérémonial est devenu presque identique à ce qui serait
désormais considéré comme l'hygiène. Les prescriptions pour les
personnes infectées sont les mêmes que celles du Lévitique 15:1 ;
Lévitique 15:24 exprime une prudence très salutaire : contraster
Lévitique 20:18 les deux cas, cependant,... [ Continuer la lecture ]
PROLONGATION ANORMALE DE LA DÉCHARGE. Ici le traitement du patient
est identique à celui de l'homme dans Lévitique 15:1 . Dans aucun
des cas, cependant, aucun traitement au sens moderne du terme n'est
mentionné. Même si la loi est implicitement hygiénique, elle n'est
pas médicale.... [ Continuer la lecture ]
CONCLUSION. Ces cinq chapitres, et _surtout le_ dernier, jettent une
lumière forte sur la conception du péché chez P. Le péché n'est
pas un acte, mais une condition. Les sacrifices qui lui sont prescrits
ne sont pas des punitions, ni même des méthodes d'évasion, mais des
moyens par lesquels, les con... [ Continuer la lecture ]