Rite d'expiation pour le grand prêtre et sa famille. Le lieu saint à l'intérieur du voile, c'est-à - dire l'intérieur des deux compartiments du sanctuaire, ne doit pas être entré à volonté, mais seulement le jour du Nouvel An ( Lévitique 16:29 ). Sinon, l'intrus serait tué par la Shekinah qui y résidait en majesté solitaire.

(Pour le voile, voir Exode 26:31 * ; pour le propitiatoire, voir Exode 25:17 sqq.*) Le prêtre, portant des robes moins ornées qu'à sa consécration ( Lévitique 8:7 sqq.

), présente le taureau comme son sacrifice pour le péché, et les deux boucs ; sur ceux-ci il tire au sort (faire expiation pour lui ( Lévitique 16:10 ) est probablement une glose ; l'expiation n'est pas mentionnée à propos de ce bouc ; et à qui se réfère-t-il ?). Il entre deux fois dans le sanctuaire intérieur ; d'abord avec l'encensoir pour produire le nuage protecteur ( cf.

Juges 6:22 ; Ésaïe 6:5 ; Exode 24:1 ; Exode 24:9 ), puis avec le sang du taureau, qu'il doit asperger sept fois sur le propitiatoire ( cf. Lévitique 8:11 ).

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