1 Thesaloniciens 2:18

I. Il y a un obstacle. Non seulement il y a des obstacles, il y a un obstacle personnel. Il n'est pas visible, il n'est pas persuasif, il faut lui résister.

II. Cet obstacle attaque les ouvriers les plus éminents de l'Église. Il a attaqué le Sauveur lui-même. Dans ce cas, il a gêné Paul. Nous sommes portés à penser que les plus grands hommes de l'Église échappent aux tentations qui tombent au sort des autres. Plus l'homme est grand, plus la tentation est grande. (1) Nos tentations montrent notre unité en tant que membres d'une race commune. (2) Nos tentations devraient éveiller nos sympathies en tant que participants d'une souffrance commune.

III. L'entrave cherche à déjouer les intentions agressives du chrétien. En étant un obstacle, l'ennemi a un avantage certain. (1) Il est facile d'entraver, c'est-à-dire de faire du mal, de suggérer des difficultés, d'amplifier les obstacles, etc. (2) Il est plus facile d'entraver que de contrecarrer.

Application : Satan vient à nous parfois par l'intermédiaire d'hommes mauvais ; (2) parfois par la satisfaction de désirs apparemment inoffensifs ; (3) parfois par l'intermédiaire de conseillers amicaux mais incapables, des hommes qui sont tellement en dessous de notre niveau qu'ils nous calculent et nous comprennent mal.

Parker, Temple de la ville, vol. ii., p. 23.

Références : 1 Thesaloniciens 2:18 . Spurgeon, Sermons, vol. xi., n° 657 ; Ibid., Soir par Soir, p. 221 ; Parker, Sources cachées, p. 203.

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