Commentaire de la Bible du sermon
2 Timothée 3:16-17
La rentabilité de l'Écriture.
Nous avons ici deux grandes affirmations concernant les Ecritures. Premièrement, ils sont inspirés de Dieu ; ensuite, ils sont religieusement rentables.
I. D'abord, cependant, il est nécessaire de garder à l'esprit la distinction entre l'inspiration et la révélation. L'inspiration est une inspiration et une accélération vitale de toutes les facultés normales d'un homme, par laquelle leur force naturelle et leurs sensibilités religieuses sont augmentées ; tels que nous concevons les procédés du Saint-Esprit dans la vie religieuse ordinaire, seuls, ici, spéciaux dans ses formes et ses mesures.
La révélation est une connaissance donnée de l'extérieur : des faits et des vérités que nous ignorons nous sont communiqués. Si toute inspiration n'est pas une révélation surnaturelle, la révélation surnaturelle n'est pas non plus une simple inspiration de la faculté naturelle. Les deux doivent être distinctement reconnus.
II. L'Apôtre affirme que les écrivains sacrés sont inspirés de Dieu insufflé par Dieu, les destinataires d'un éclat divin. L'étendue et la variété de la rentabilité de l'Écriture doivent être notées. C'est un livre pour la vie humaine; non seulement pour les églises ni pour les dévotions, mais pour tous les domaines et relations des êtres humains. (1) Il est utile pour la doctrine, pour enseigner de vraies idées ou principes de vie religieuse.
Il rend les hommes sages à salut. Les hommes sentent et agissent selon les pensées et les sentiments qu'ils entretiennent. Aucun sage ne sous-estimera les notions théologiques correctes : ce sont des conditions indispensables de la bonté. Selon l'Apôtre, les Écritures sont la source distinctive de notre enseignement théologique. Les vraies doctrines concernant Dieu et la religion sont révélées dans la Bible. (2) L'autre grande idée de la rentabilité de l'Écriture est représentée par les mots « réprimande », « correction.
« Quel que soit le livre historiquement, d'où qu'il puisse, on ne peut lui refuser son ministère moral et religieux auprès des hommes : et c'est la preuve la plus concluante de son autorité divine. : en tant que tel, nous n'avons qu'à souhaiter qu'il vive. Tant que les âmes humaines ressentiront le péché et la douleur, tant elles apprécieront le salut et la consolation de l'Écriture.
H. Allon, Le Christ qui habite, p. 123.
Références : 2 Timothée 4:1 . Clergyman's Magazine, vol. v., p. 272. 2 Timothée 4:1 ; 2 Timothée 4:2 . Chaire de l'Église d'Angleterre, vol.
xvii., p. 157. 2 Timothée 4:1 . Expositor, 1ère série, vol. x., p. 443. 2 Timothée 4:2 . Clergyman's Magazine, vol. je., p. 129. 2 Timothée 4:4 . Chaire du monde chrétien, vol. xx., p. 40 ; Plain Sermons par des contributeurs à "Tracts for the Times," vol. v., p. 287.